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Serge DESAUNAY  Sylvie BERGER

Ces deux oiseaux-là devaient bien se croiser un jour...

... pour mettre  en commun leurs songes de trublion afin de semer  joie et tendresse, fantaisie et poésie aux quatre vents d'un pays sans frontières...

 

Passionnés tous deux par le monde des musiques traditionnelles, ils ne cessent d'en explorer les cultures, partageant une même faim insatiable de découverte des Autres et une même soif de liberté : ils voyagent sans cesse entre cultures occitane ou bretonne, bourbonnaise ou irlandaise, calabraise ou grecque, serbe ou bulgare, roumaine ou arménienne, d'ailleurs encore et bien sûr tsigane, comme une évidence...

Serge Deaunay Sylvie Berger

@LS

Serge Desaunay accordéoniste

@MTC

Sylvie Berger

Formation, animation danse traditionnelle,

poète et photographe

 

Elle vient du Midi, mais cette touche à tout est une incorrigible vagabonde à la poursuite permanente d'Ailleurs et d'Autres.

C’est par sa passion pour la culture régionale que Sylvie Berger, longtemps écrivain, journaliste, éditrice et photographe lors d'un parcours fantasque, est arrivée aux musiques et danses traditionnelles.

Curieuse des pratiques historiques, populaires et actuelles, elle vit la danse traditionnelle (occitane, napolitaine, irlandaise, tsigane, des Balkans...) comme une rage de vivre, un mode d'expression et un art des rencontres.

Elle aime à transmettre ou à partager, avec bienveillance et bonne humeur, tout en poursuivant inlassablement recherches et formations.

Elle a coopéré avec de nombreux musiciens traditionnels (Desaunay à fond de bal, Desaunay’s Irish, Duo Ber-Magurno, Manja Pelos, Occhi Turchini, Biscam pas, Le Quatrio, Tornamai, Castanha e Vinovèl, Fan de bruch…) pour animer bals et ateliers.

Mais depuis 2013, elle collabore avant tout avec Serge Desaunay dont elle partage l'insatiable curiosité et le  désir de rapprocher les autres...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                            
 

                                                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Écriture, photo, édition...

Son goût pour l'écriture la mène d'abord au journalisme où elle se spécialise dans le patrimoine naturel, ethnologique, architectural, vernaculaire, etc. Elle est longtemps journaliste pigiste et rédactrice en chef de nombreux journaux et magazines.

En français, elle publie un ouvrage sur les étangs de la petite Camargue (Ce monde des étangs, Presses du Languedoc, 1998), ou de courts poèmes accompagnant ses images.

Mais c’est l’occitan qu’elle a choisi pour l’expression poétique qui constitue la plus grande part de son travail d’écriture. Ayant bercé son enfance, cette langue est celle qui lui permet d’exprimer le plus justement ses émotions. Ses poèmes, contes et nouvelles sont publiés dans les revues OC et Reclams et lui valent d'être invitée à différents festivals de poésie, tels que les Voix Vives de la Méditerranée où elle a été conviée à deux reprises.

Toujours en occitan, elle a collaboré avec des musiciens pour l’écriture de chansons.

 

Parallèlement, elle va s'orienter vers la photographie d'auteur qui laisse transparaître son attachement à la garrigue, au monde des étangs, ainsi qu'aux gestes presque disparus de son enfance entre bergers et vignerons. Mais le Languedoc de Sylvie Berger, celui que le public a découvert à travers plusieurs expositions, c'est aussi celui de ses macrophotographies, à la fois précises et d'une grande poésie. Fleurs humbles, insectes déroutants, reptiles ou crapauds injustement mal-aimés, révèlent sous son objectif leur beauté et leur fragilité. Elle a exposé ses cheminements avec Max Rouquette ou d'autres écrivains.

 

De l'occitan à la danse

Mais elle a également co-fondé et dirigé la maison d'éditions Cardabelle  et sa galerie photo durant dix ans, au cœur du vieux Montpellier. Elle y a côtoyé les plus grands écrivains, notamment occitans, en particulier Max Rouquette avec lequel elle a collaboré à plusieurs reprises. Elle y a accueilli d'autres photographes, tels que Michel Descossy et Charles Camberoque, mais aussi conçu des expositions alliant textes poétiques et photographies, comme Paraulas del vent, en hommage à Max Rouquette.

Peu à peu elle va découvrir les danses et musiques traditionnelles et se passionner pour elles. Occitanes d'abord, puis bretonnes, napolitaines, tsiganes et des Balkans, notamment. Elle pratique le sean-nos (claquettes traditionnelles irlandaises) avec des formateurs irlandais et se passionne pour le flamenco depuis quelques années.

Transmettre et rassembler

Investie dans la transmission du répertoire chanté et dansé occitan, elle anime des ateliers en milieu scolaire et auprès des adultes. Autant qu’à la transmission, elle s’attache à la prise de confiance personnelle et à la prise de conscience du collectif, au sens profondément social et à l'aspect thérapeutique de ces danses conviviales.

Auprès des enfants, elle intervient dans les écoles publiques ou Calandreta pour des projets pédagogiques de transmission

des chants et danses occitans et de sensibilisation à la langue et à la culture occitanes. Elle assure des animations pédagogiques dansées lors de journées de rencontre des écoles publiques autour de l'Occitan ou du Tambourin ou sur des projets d'école de musique avec des écoles et des centres aérés. Elle est intervenue auprès du CFPO, organisme de formation des instituteurs des Calandretas.

 

Pour les adultes, elle a créé un atelier hebdomaire à Montpellier, anime les ateliers de plusieurs communes alentour pour différentes associations et des stages en diverses occasions : école de musique intercommunale, festivals occitans, feux de la Saint- Jean, cycle d’initiation aux danses traditionnelles, public en situation de handicap,  etc...  Elle a participé en tant que danseuse à une création de Claude Alranq (Théâtre de la Rampe TIO) et et à des représentations d'écoles de musique. Elle assure régulièrement des ateliers, stages ou l’animation de bals (Clermont-Ferrand, Belfort, Saragosse, Châteauroux, Saurat, Milan etc.) et dans la région de Roanne où elle collabore avec l’accordéoniste Serge Desaunay. Elle anime les Calucadas, stages de danse de 5 jours qui ont lieu deux ou trois fois l'an.

Toujours avec Serge, elle a créé un spectacle concert-dansé autour des musiques et danses traditionnelles, Accordança, disponible aussi en version concert-maison.

Occitanophone, elle est titulaire du Diplôme de Compétence en Langue Occitan, B2 du CECRL*/degré 4 (*Cadre européen commun de référence pour les langues)

main gauche de l'accordéon, évolution reprise par de nombreux accordéonistes puis par les fabricants, car elle élargit considérablement les possibilités musicales de cet instrument.

Et ce n'est pas tout. Ayant opté pour un accordéon SOL-DO, Serge se rend vite compte que les notes présentes sur les deux rangées ne lui permettent toujours pas de jouer tous les morceaux de son frère. Il décide donc d'en rajouter, en commençant par le SOL Dièse et le LA Dièse, qui manquaient jusque là cruellement sur cet instrument. Peu à peu, il met en place une troisième rangée, avec les altérations dont il a besoin pour jouer aussi bien avec une guitare, que différentes cornemuses ou d'autres instruments!

Il fait la connaissance de Bruno Priez, facteur d'accordéon. Toujours désireux de trouver un accordéon "à sa main", qui puisse satisfaire ses exigences, il demande à Bruno de lui fabriquer un accordéon diatonique trois rangs. Ensemble ils élaborent le modèle Accordéon Imagineïre SOL/DO Clavier Serge Desaunay, sur lequel Serge joue toujours. 3 rangées à la main droite et 14 basses à la main gauche qui séduiront plus d'un accordéoniste !

"Mon accordéon que j'ai voulu léger présente des limites au niveau de la tessiture ( moins de boutons que la plupart des 3 rangs d'aujourd'hui ), ce qui m'oblige dans mes adaptations à beaucoup d'octaviages et de substitutions harmoniques. Son accordage est à trois voix Musette asymétriques ( ce qui je crois est unique ou inhabituel).

Les accords de la main gauche sont sans tierce."

Depuis 2013, Serge Desaunay et Sylvie Berger multiplient

les collaborations artistiques :

   - ateliers et stages de danses traditionnelles

   - création du groupe de bal ABRAÇEBRAÇ au répertoire                       riche et modulable : occitan, breton, Balkans, tsigane,

irlandais etc.

   - Sylvie est danseuse (sean-nos) et animatrice de danses

pour la formation Desaunay's Irish

   - spectacle ACCORDANÇA, créé en automne 2016 et devenu concert-spectacle maison en 2020

   - lecture des poésies de Sylvie en musique

   - et tout plein d'envies encore dans leur musette...

Serge Desaunay Sylvie Berger spectacle Accordança danse grecque
Serge Desaunay Sylvie Berger Accordança

Serge Desaunay

Accordéoniste (diatonique et chromatique), violoneux, interprète,

compositeur et enseignant

Serge Desaunay est né à Argenteuil en 1957. Très jeune, il a l’occasion de gratouiller un peu sur tous les instruments à cordes qui traînent à la maison : son père joue du violon et accompagne de temps à autre son oncle batteur dans des soirées dansantes. Son frère Patrick joue lui aussi du violon et de la guitare.

Dans les folk clubs de la région parisienne où la vague du folk revival bat son plein, Serge découvre l’accordéon diatonique.

Dès lors, il partage sa passion pour les musiques de différents horizons : traditionnelles, improvisées, classiques, chansons... avec de nombreux artistes au sein de diverses formations. Compositeur-arrangeur, il a œuvré à l’émergence de l’émergence de groupes parmi lesquels La Chiffonie, Les Maudzits Français, Roulotte bleue, Coktail Swing, Taraf Borzo... et signé bien des compositions remarquées : Dimanche matin, la valse à Joseph... Soliste, il a participé à l’évolution de l’accordéon diatonique : répertoire, techniques de jeux, lutherie...

Personnalité du mouvement revivaliste folk dans les années 1970, pilier du renouveau de l'accordéon diatonique en France, ce musicien à la forte personnalité et à la démarche originale s'est imposé comme une référence dans de nombreux styles musicaux, grâce à son jeu subtil et à ses très nombreuses compositions, capables d'exprimer la plus grande joie comme la plus profonde nostalgie.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Patrick Perroton, "Le Beau Temps" (1984) restent des références.

Ses innovations techniques, son jeu original et ses compositions emplies d'une grande sensibilité le font très vite remarquer et influencent tous les accordéonistes diatoniques de l'époque.

Curiosité sans frontière

Tout en continuant de jouer avec son frère, il entame donc une brillante carrière personnelle. Il fait de nombreux concerts solo et commence à enseigner l'accordéon diatonique. Enregistrements d'albums, tournées et festivals s'enchaînent.

Sans cesse attiré par de nouveaux genres musicaux, et par l'évolution des musiques traditionnelles, Serge multiplie les expériences et les rencontres.

​Il forme en 1984 la première formation Rue du Canal qui visite les différentes musiques traditionnelles françaises.

C'est l'époque de ses premières tournées en Irlande.

En 1985, à l'invitation de Gilles Le Bigot, il découvre la musique bretonne. Jean-Michel Veillon leur propose alors une tournée aux États-Unis, pendant laquelle ils partageront l'affiche avec le célèbre groupe Kornog. "Tunes for America", qu'il enregistre avec Gilles juste avant leur départ, y aura un succès retentissant.

Avide de nouvelles expériences, il monte un duo de musique bourbonnaise avec Christian Vesvre, qui joue aussi bien les cornemuses 16 et 20 pouces du Bourbonnais que le Uilleann Pipes, la cornemuse irlandaise. C'est aussi l'époque de sa rencontre avec Jean Luc Cappozzo, trompettiste de jazz, incomparable en ce qui concerne l'improvisation !

Augmentant toujours la dose d'originalité qu'il intègre au folk, il monte alors un trio avec Jean Luc et Bruno Feugère (guitare), qui mêle folk, compositions originales et Be-Bop !

En 1989, Il enregistre avec Christian Vesvre, Jean Luc Cappozzo et Jean Paul Autun l'album "Matins Gris" à la demande d'Ocora, la maison de disque d'Harmonia Mundi : rencontre improbable et réussie de la musique bourbonnaise et de l'improvisation!

La curiosité débordante de Serge et sa volonté de découvrir toujours de nouvelles musiques l'amènent à poursuivre l'apprentissage de l'accordéon chromatique. En 1990, il monte le groupe Cocktail Swing, avec Bruno Feugère, Luc Lorimy (contrebasse) et Pierre Chamussy (guitare), dont le répertoire visite et revisite le jazz swing des années 1940/50. Ensemble ils enregistrent dès 1991 un premier opus éponyme.

Parallèlement, Serge continue sa carrière au diatonique.

En 1992, il forme un quartet de musique irlandaise avec Kieran Fahy, ami violoniste irlandais de longue date installé en Belgique, Noel Harris (guitare) et déjà, Marc Pollier ! Plusieurs albums et de nombreuses tournées en Europe, en quartet, ou en duo avec Kieran apporteront à Serge la reconnaissance des musiciens irlandais.

Entre tradition et création

À cette époque, il est invité à enregistrer dans "l'Anthologie de la Chanson Française" chez EPM et sur les volumes 2 et 3 de la collection "Paris Musette", vendue à des centaines de milliers d'exemplaires dans le monde entier. EPM propose alors que La Chiffonie se réunisse exceptionnellement pour l'enregistrement d'un album folk à la sauce Desaunay et Collomb, "La Chiffonie - Nouvelles escales".
À partir de 1995, Serge poursuit sa carrière en même temps à l'accordéon diatonique et à l'accordéon chromatique, particularité que peu d'accordéonistes partagent. Alors que Cocktail Swing poursuit son chemin avec l'enregistrement d'un second album, "La Belle Chapelière", Serge fonde avec Michel Sanlaville (contrebasse) et Stéphane Méjean (saxophone) le trio Roulotte Bleue. Leur musique ? Inclassable! Pour s'en rendre compte, il suffit d'écouter l'album "Bon Voyage" qui sort l'année suivante et qui leur vaudra une participation à plusieurs émissions radio et télévisées.

Il est invité au Festival international de folk de Champlain Valley (Vermont, USA) en 1993 et sur plusieurs tournées au Québec, avec notamment une participation en solo aux Rencontres Internationales d'Accordéon de Montmagny, en 1998.

Alors que Serge joue dans le spectacle "A volte Ritornano" en Italie avec Mauro Palma et Elena Ledda, entre autres, il est invité à composer et à jouer dans le spectacle "Sergan le Rom", par la Compagnie du Tire Laine à Lille.

Musicien à la forte personnalité et à la démarche originale, le très réservé Serge Desaunay louche alors avec un égal bonheur vers les musiques tziganes au sein du Taraf Borzo puis du Trio Tshirikly, tout en poursuivant un travail de compositeur rare et sensible.

​Taraf Borzo écume pendant dix ans tous les grands festivals de France et d'Europe, après avoir fait ses début lors du Printemps de Bourges et enregistre son premier album en 2000.

En 2002, Serge fonde avec Kieran Fahy le quartet Valerio, dans lequel ils invitent Julien Biget, guitariste et chanteur de folk et musique irlandaise, et Julien Favreuille, saxophoniste de jazz, dont Serge a fait la connaissance au sein de Taraf Borzo.

Rencontres et partages

Serge alterne les tournées et les enregistrements avec Taraf Borzo ("Puncha Puncha" en 2003) et Valerio ("The Humours of Altan", 2004), tout en continuant la musique irlandaise en Rhône Alpes où il vit, avec Drowsy Maggie.

En 2004, Il s'installe à Lille, et est alors invité à jouer dans plusieurs spectacles : "Opéra Bouffe Circus" avec le Théâtre du Prato, puis "Dédé le Taxi" avec la Compagnie du Tire Laine et le Théâtre Antigone de Courtrai.

En 2006 sort l'album "Rue du Canal " dans lequel il invite une vingtaine de musiciens, tels son frère Patrick, Marc Pollier, Jean Luc Cappozzo ou Kieran Fahy. Ce disque aux arrangements subtils et aux styles variés représente un retour sur l'ensemble de sa carrière, les nombreux genres musicaux qu'il pratique, les grandes rencontres avec des musiciens exceptionnels.

En 2007, Serge monte d'abord le second Trio Rue du Canal, avec son fils Florentin et Gaspard Vanardois, jeune virtuose de la guitare et du oud, puis le Trio Desaunay-Pollier qui deviendra quartet en 2008, tout en continuant la musique tzigane, le musette, la musique québécoise avec Benoît Reeves, fils de Francine, etc...

Après plus d’une vingtaine de disques collectifs, "Amours et printemps" paraît en 2009. Cet album que Serge projetait depuis longtemps, est un exercice en solo à l’accordéon diatonique dédié à sa grand-mère.

À l'initiative de Kieran Fahy et avec la participation de Ray Baron (Cork) et Gaspard Vannardois, ils reforment une nouvelle formule autour de ses compositions : Rue du Canal. Suivent plusieurs tournées en Irlande et Belgique et l'enregistrement du CD " Premier étage ". En 2016, il refonde un orchestre tsigane, Tarafan avec de jeunes musiciens du Roannais où il vit. Il poursuit  la musique irlandaise avec Desaunay's Irish où il joue avec ses fils Florentin et Joseph et parfois Kieran Fahy. Sylvie Berger danse pour le groupe. À partir de 2013, il multiplie les collaborations et projets avec elle.

 

 

Sylvie Berger danse des Balkans

Enfant, elle écrivait déjà, quand elle ne passait pas son temps à parcourir la garrigue languedocienne, les causses et la montagne lozérienne.

Rien d'étonnant donc à ce qu'elle se soit spécialisée dans les domaines du patrimoine régional et méditerranéen, où elle poursuit ses recherches dans une quête sans fin. Si elle porte un intérêt passionné aux bêtes et aux plantes, à la nature en général, elle s'est également beaucoup intéressée à la vie rurale héritée du XIXe siècle, si présente à travers les récits familiaux des aïeux lozériens, et qui inspire son quotidien comme son imaginaire.

Serge commence l'accordéon diatonique vers l’âge de 15 ans et décroche son premier engagement important avec La Chiffonie, créée autour du chanteur Hal Collomb, formation phare avec La Bamboche, Malicorne et quelques autres du folk revival.

En 1978, Serge et Patrick fondent le Duo des Frères Desaunay, qui laissera, tout comme la Chiffonie, une trace indélébile au sein du folk. Leurs albums "Après la Pluie" (1979) et, avec le saxophoniste

Serge Desaunay

les innovations techniques

de l'accordéon diatonique

 

C'est à la fin des années 70 que Serge va, d'abord sans le savoir révolutionner l'accordéon diatonique.

Pour jouer avec son frère qui compose à la guitare, il décide de neutraliser le système de tierces sur la

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La Chiffonie - Hal Colomb, Serge Desaunay et Patrick Desaunay

POUR EN SAVOIR PLUS...

La Chiffonie - Hal Colomb, Serge Desaunay et Patrick Desaunay.

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